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« On est salis et humiliés » : le ras-le-bol des praticiens chez SOS Médecin qui se « font insulter quotidiennement »
« On est salis et humiliés » : le ras-le-bol des praticiens chez SOS Médecin qui se « font insulter quotidiennement »

Le Parisien

time18 minutes ago

  • Science
  • Le Parisien

« On est salis et humiliés » : le ras-le-bol des praticiens chez SOS Médecin qui se « font insulter quotidiennement »

L'attaque résonne chez beaucoup de collègues. À Lille, un praticien de SOS Médecins a été violemment agressé, frappé et insulté par les proches d'une patiente dans son cabinet, mercredi. Malheureusement, un événement beaucoup trop récurent dans cette profession. C'est le cas de Sébastien Chopin, vice-président de SOS Médecins France et président de la branche Melun, victime d'une agression en octobre 2022. Une jeune mère estimait que la prise en charge était trop tardive. Elle lui avait alors assené une dizaine de coups de poing. Pendant trois mois, « j'avais peur quand le bruit était fort dans la salle d'attente » décrit ce médecin généraliste. « On a l'impression d'être salis et humiliés » et cela ne concerne pas seulement les cabinets, « ça commence bien avant, au niveau des standards ». Les violences verbales augmentent de façon significative « depuis quatre à cinq ans » avec des centres d'appels « où les collaborateurs se font insulter quotidiennement », précise Philippe Paranque, président de SOS Médecins. Ces centres agissent comme « un filtre » pour accéder aux médecins et sont les premiers réceptacles du mécontentement des patients. Les professionnels de santé font face à des individus qui ont des « exigences », notamment avec un sujet qui crispe souvent les échanges : les arrêts de travail. Or, SOS Médecins s'oblige à ne pas donner plus de trois jours d'arrêt maladie. Il faut ensuite consulter un médecin pour le renouveler. Malgré une majorité de patients compréhensifs, certains ne l'acceptent pas, ce qui « peut mener à des situations comme à Lille », explique le Dr Paranque. Pour empêcher que ces violences deviennent encore plus récurrentes, SOS Médecins interdit l'accès aux « brebis galeuses qui pourrissent le système », souligne le Dr Paranque. S'il y a des actes d'incivilités, le patient peut être interdit d'appel à l'organisme. Comme l'indique l'article 47 du Code de santé publique, « hors cas d'urgence » un médecin « a le droit de refuser ses soins pour des raisons professionnelles ou personnelles ». Les médecins se protègent aussi matériellement face aux actes violents. « Après mon agression, on a installé des caméras à l'intérieur et à l'extérieur de l'établissement, ainsi qu'un double sas d'entrée et un bouton d'alerte sous mon bureau », raconte le Dr Chopin. « Les dispositifs de signalements sont encore à l'échelle d'expérimentations et doivent être généralisés », regrette de son côté le Dr Paranque. « Cela ne doit pas compliquer le contact entre patient et médecin, et éviter de « bunkériser » les structures », rappelle toutefois le président de SOS Médecins. Malgré ces dispositifs, 216 incidents ont été signalés par des médecins - entre le 1er janvier et le 23 juin 2025, selon l'Ordre. Dans 81 cas, il s'agissait d' injures ou de menaces . « Il n'y a que la justice qui peut agir », s'agace le président de la branche locale de Melun dont l'agresseuse avait déjà été condamnée trois fois. En dépit d'un Code pénal qui protège les soignants avec des peines plus lourdes, le président de SOS Médecins regrette que « des peines ne soient pas rendues » et que la justice « soit satisfaite d'une tape sur la main ».

Services essentiels maintenus
Services essentiels maintenus

La Presse

time22 minutes ago

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Services essentiels maintenus

Les conséquences de cette grève se feront peu ressentir au sein de la population en raison des services essentiels maintenus. (Québec) Quelque 3300 ambulanciers paramédicaux membres de syndicats CSN sont en grève depuis minuit et une minute dimanche. Ils sont sans convention collective depuis avril 2023 et espèrent ainsi « faire pression sur le Conseil du trésor […] afin de conclure un règlement des conventions collectives », précise un communiqué diffusé dimanche matin. La Presse Canadienne Les conséquences de cette grève se feront peu ressentir au sein de la population en raison des services essentiels maintenus. Le Tribunal administratif du travail s'est prononcé vendredi sur les services essentiels que doivent dispenser les paramédicaux de la CSN. Il a statué que les appels de priorités 0 à 7 devront être effectués de façon habituelle. Les appels de priorité 8 seront traités de la façon habituelle, sauf pour les retours à domicile qui ne seront effectués qu'entre 12 h et 17 h durant la grève. Trente-cinq avis de grève à durée indéterminée ont été transmis dans plusieurs villes du Québec par des syndicats de la Fédération de la santé et des services sociaux, affiliée à la CSN. La grève prendra donc la forme de moyens de pression essentiellement administratifs, touchant par exemple des formulaires remis à l'employeur. Les ambulanciers paramédicaux exerceront aussi une grève de temps, en rotation, remplacés à leur poste par le personnel-cadre. « Le gouvernement de la CAQ nous dit qu'il trouve qu'il y a trop de grèves au Québec, mais en négociation il se traîne les pieds », a déploré le premier vice-président de la CSN, François Enault. « Il refuse de mettre des propositions sérieuses sur la table tant qu'il ne sent pas dans son cou le souffle de la mobilisation. Nous entendons déployer tous les moyens qu'il faudra afin que les paramédics du Québec obtiennent des conditions de travail qui reflètent la pleine valeur de leur contribution à notre société », a déclaré M. Enault par voie de communiqué. L'aspect salarial figure parmi les principaux enjeux en litige, mais aussi « le respect des horaires de travail, afin de lutter contre l'explosion des heures supplémentaires, et la bonification du régime de retraite ». « Le gouvernement sait bien que les paramédics ne pourront jamais accepter une baisse de leur rémunération », a pour sa part affirmé la vice-présidente de la FSSS-CSN, Lucie Longchamp. « Comment se fait-il que, deux ans après l'échéance des conventions, il ne soit même pas encore capable de déposer à la table de négociation les mêmes augmentations de salaire qu'il a négociées avec tous ses autres groupes de salariés ? », questionne-t-elle ouvertement. Les moyens de pression des ambulanciers paramédicaux touchent particulièrement les régions de l'Abitibi-Témiscamingue, du Montréal métropolitain, des Laurentides, de Lanaudière, de la Montérégie, de l'Estrie, de la Mauricie, de la grande région de Québec (incluant Charlevoix), du Saguenay–Lac-Saint-Jean, de la Côte-Nord et du Bas-Saint-Laurent. À noter que neuf journées de négociation avec l'employeur sont prévues en juillet.

Six domaines viticoles du Languedoc qui valent le détour
Six domaines viticoles du Languedoc qui valent le détour

LeMonde

time28 minutes ago

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Six domaines viticoles du Languedoc qui valent le détour

Avec ses dix-neuf vignobles, l'Occitanie est la deuxième destination œnotouristique de France, après la Nouvelle-Aquitaine et son Bordelais. Elle a reçu 2,3 millions de visiteurs en 2023 (12 millions pour l'ensemble du vignoble français). Parmi tant d'autres, quelques idées pour explorer cette région qui s'étend de Nîmes à Perpignan. Côté Mas, à Montagnac (Hérault) Sur la commune de Montagnac, près de Pézenas, Jean-Claude Mas propose au visiteur, autour de ses vignes en bio, de découvrir sa région à travers plusieurs propositions réunies sous le label Côté Mas : des chambres de luxe (la maison Nicole) dans une demeure typique de pierres, un restaurant gastronomique, une boutique, un haras proposant des balades à cheval, des visites de chais et des vignes en buggy, pique-niques, piscine, dégustations… Château de l'Engarran, à Lavérune (Hérault) Folie montpelliéraine du XVIII e siècle, le Château de l'Engarran appartient à la même famille de vignerons depuis cinq générations. Ce patrimoine classé fait découvrir son histoire grâce à un petit musée privé, mais aussi en proposant des dégustations de vins, des ateliers d'assemblage comme des cours de yoga ou des soirées grillades et des dîners plus chics. Château L'Hospitalet, à Narbonne (Aude) Pour découvrir l'univers des vins remarquables de Gérard Bertrand, le Château L'Hospitalet propose un empire du bien-être labellisé Small Luxury Hotels of the World : excursions, dégustation, gastronomie, expositions, yoga… mais aussi son excellent festival de jazz (du 15 au 19 juillet) avec, entre autres, Ibrahim Maalouf le 16 juillet, Michel Polnareff le 18 juillet ou Christophe Maé le 19 juillet. Château de Pennautier (Aude) A 3 kilomètres de Carcassonne, le Château de Pennautier impose depuis 1620 son style versaillais inattendu dans le paysage audois. Lauréat du concours des Trophées de l'œnotourisme, ce monument historique se visite, comme son parc classé Jardin remarquable. Il est au cœur des domaines viticoles Lorgeril, qui proposent un panel d'activités : visites de vignes et de chais, restaurant La Table du château, boutique ou parcours ampélographique, ainsi que des hébergements dans les dépendances. Au cœur des Corbières, le romantique Château de Lastours propose de visiter ses chais ou de déguster ses vins mais aussi de dîner dans son ancienne bergerie. Et comme « qui dort, dîne », plusieurs villas parsemées sur le domaine sont aussi des lieux d'hébergement. Pour se réveiller en beauté dans la garrigue. Domaine Puech, à Saint-Clément-de-Rivière (Hérault) Aux portes de Montpellier, le chaleureux domaine familial des Puech organise depuis plusieurs années, pendant l'été, des Jeudis du rosé, avec plusieurs food trucks proposant des accompagnements à grignoter avec le rosé de l'année. Une soirée à l'ombre des oliviers et animée par des groupes comme Le Marquis de sable ou Julie Gonnet.

Six mois rocambolesques
Six mois rocambolesques

La Presse

time30 minutes ago

  • Business
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Six mois rocambolesques

Après une déroute spectaculaire en avril, les marchés boursiers ont rebondi de façon inattendue et la plupart des principaux indices se trouvent aujourd'hui en territoire positif comparativement au début de l'année. Certains sont même à un sommet historique. Bilan des six premiers mois de 2025. Jean Gagnon Collaboration spéciale Durant les deux premiers mois de l'année, le S&P 500 a fluctué entre 5800 et 6180 points, un niveau constituant alors un sommet historique. En mars, des premiers signes de faiblesse apparurent, alors que les mesures économiques de la nouvelle administration Trump suscitèrent des craintes de ralentissement, si ce n'est de récession. Et le 2 avril, ce fut le déferlement de la tempête tarifaire. À partir de ce moment, les grands investisseurs ont fui les investissements américains, y compris les 7 magnifiques du secteur technologique, explique Cimon Plante, gestionnaire de portefeuilles chez Financière Banque Nationale. En quelques jours, l'indice a plongé jusqu'à 4900 points, en territoire de marché baissier (bear market). Il ne fallut que quelques semaines pour que les marchés se retournent complètement. Avril est le mois où les sociétés américaines cotées en Bourse commencent à divulguer leurs résultats du premier trimestre, et il apparut rapidement que les profits étaient au rendez-vous. À cela s'ajouta un marché du travail qui tenait le coup, une inflation qui demeurait basse et une effervescence toujours présente pour l'intelligence artificielle (IA). Bien que la date butoir du 9 juillet concernant l'application des tarifs demeure à surveiller, les investisseurs ont reconnu qu'il y avait souvent un écart important entre la menace et l'exécution quant aux annonces du président Trump. « Cela change la donne, comme si on lui accordait moins d'importance », dit Cimon Plante. Les PDG des grandes sociétés ont eu leur mot à dire dans le renversement de la tendance négative des marchés boursiers à partir de la mi-avril. Tout en divulguant de solides résultats pour le premier trimestre, plus de 80 % d'entre eux annonçaient que, malgré le risque de ralentissement économique, ils ne modifiaient pas leurs prévisions pour l'ensemble de l'année. Certains même les augmentaient. Et ils n'ont pas hésité à utiliser les liquidités de leurs entreprises. Ils ont racheté durant le trimestre pour une valeur de 293 milliards US de leurs propres actions, un niveau record et 20 % plus élevé que les achats réalisés au premier trimestre 2024. Finalement, le S&P 500 gagne 5,5 % pour la première moitié de l'année. La Bourse canadienne n'a pas été en reste. L'indice S&P/TSX s'est apprécié de 8,6 % depuis le début de l'année. Les sous-indices des matériaux (29,2 %) et de la consommation discrétionnaire (12,6 %) ont réalisé les meilleures performances. Seul le sous-indice des soins de santé (-7,3 %) montre une performance négative. Les banques ont bien fait avec une hausse de 9,1 %, principalement la Banque TD qui a réalisé un gain spectaculaire de 30,9 %. Bombardier, malgré les incertitudes liées à sa chaîne d'approvisionnement, a terminé le semestre avec un solide gain de 18,3 %. Et le titre vient d'amorcer la deuxième moitié de l'année avec un bond de plus de 20 % à la suite de l'obtention d'une commande de 50 avions qui devrait lui rapporter plus de 4 milliards US. L'annonce est significative, explique Cameron Doerksen, analyste chez Banque Nationale Marchés financiers. Elle assure à la firme des livraisons de plus de 150 appareils jusqu'en 2027. L'analyste hausse son cours cible pour les 12 prochains mois de 115 $ à 171 $. La période s'est avérée plus difficile pour Alimentation Couche-Tard, le titre reculant de 15,1 % depuis le début de l'année, étant soumis à des conditions macroéconomiques incertaines. La tentative d'acquisition de 7-Eleven a de nouveau occupé l'attention des investisseurs. Et l'histoire n'est pas terminée. « La situation est à la fois simple et compliquée », explique Philippe Côté, gestionnaire de portefeuilles chez Eterna Groupe financier. Et le résultat pourrait être intéressant pour les investisseurs dans un cas comme dans l'autre. Couche-Tard possède un bilan financier lui permettant de réaliser cette transaction sans pour autant émettre de nouvelles actions par voie d'une émission publique. Si cela devait entraîner une hausse trop importante de son ratio d'endettement, elle pourrait faire appel à des partenaires qui participeraient à une émission privée d'actions. Et les partenaires ne manqueraient pas, compte tenu de la qualité de l'exécution que la firme a démontrée lors de toutes ses acquisitions antérieures, souligne Philippe Côté. Et si la transaction ne se matérialisait pas ? Couche-Tard pourrait alors procéder à un très gros rachat, ce qui plairait certainement aux actionnaires, selon Philippe Côté. Chez les autres québécoises, Dollarama a de nouveau enrichi ses actionnaires avec un gain de 36,8 % depuis le début de l'année. L'efficacité de son développement, cette fois-ci avec une acquisition en Australie, ne cesse d'impressionner les investisseurs. AtkinsRéalis, anciennement SNC-Lavalin, a quant à elle gagné 25,5 %, propulsée par une solide reprise du secteur du nucléaire.

Quelle a été la pire gaffe commise par un(e) athlète ?
Quelle a été la pire gaffe commise par un(e) athlète ?

La Presse

time30 minutes ago

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Quelle a été la pire gaffe commise par un(e) athlète ?

La rubrique où les journalistes de l'équipe des Sports de La Presse répondent à une question dans le plaisir. Richard Labbé Ça fait presque 40 ans et puis pourtant, c'est encore tout frais à ma mémoire : Steve Smith, depuis l'arrière de son filet, qui tente un jeu qu'on apprend à ne pas faire à l'âge de 6 ou 7 ans, et qui envoie la rondelle vers le centre de la glace… mais la rondelle dévie sur la jambe gauche du gardien Grant Fuhr et se retrouve dans son propre but. Au chapitre des grosses gaffes, c'est dur de faire pire, encore plus si on comprend le contexte : en pleine finale de division, et en plein septième match. Les Oilers d'Edmonton ne s'en remettront pas, et seront du coup éliminés par les Flames de Calgary. Le but gagnant sera crédité à Perry Berezan, un gars d'Edmonton, incidemment, qui marquera 61 buts en carrière, mais aucun aussi beau que celui-ci. Cette gaffe freinera la course des Oilers en direction d'une troisième Coupe Stanley de suite et, surtout, elle ouvrira tout grand la porte au Canadien et à son improbable triomphe de 1986. Simon-Olivier Lorange PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Paul Byron (41) lors de son combat contre MacKenzie Weegar (52) Ce n'est pas quelque chose que je garde secret : je ne crois pas que les bagarres ont leur place au hockey. À mes yeux, jeter les gants est toujours une mauvaise décision, surtout lorsque le combat est planifié. Je retiens deux évènements comme des gaffes majeures de porte-couleurs du Canadien : Mike Komisarek contre Milan Lucic en 2008 et Paul Byron contre MacKenzie Weegar en 2019. Les deux se sont fait rosser et n'ont plus été le même joueur par la suite. Le jeu de Komisarek a dégringolé, et malgré un lucratif contrat, en moins de deux ans, il est devenu un défenseur marginal chez les Maple Leafs de Toronto. Quant à Byron, ce sont d'autres ennuis de santé qui l'ont forcé à la retraite en 2023, mais ses statistiques ont lourdement chuté après le combat de 2019, au terme duquel il était entré au banc en titubant. Alexandre Pratt La fois où Larry Walker, alors avec les Expos, avait attrapé une chandelle de Mike Piazza près de la clôture du champ droit. Croyant que la manche était terminée, il avait remis la balle à un enfant de 6 ans qui tendait son gant. Or, ce n'était que le deuxième retrait… Et il y avait un joueur sur les buts. Le temps que Walker aille reprendre la balle des mains du garçon, le coureur des Dodgers de Los Angeles était rendu au troisième but ! Simon Drouin PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE Lance Armstrong Le retour de Lance Armstrong en 2009, quatre ans après sa première retraite. Sa présence au Tour de France (3e) l'a remis au cœur de l'actualité et dans le collimateur des instances antidopage. Surtout, il a fermé la porte au nez de son meilleur ennemi Floyd Landis, qui souhaitait lui aussi revenir dans le peloton après son contrôle positif de 2006 quelques jours après sa victoire au Tour. Frustré et se sentant trahi, ce dernier a alerté USA Cycling et l'Union cycliste internationale dans des courriels où il a détaillé le système de dopage organisé chez US Postal et balancé tout le monde. Son témoignage devant l'Agence américaine antidopage a été un élément central du rapport accablant publié en 2012 et qui a mené à la chute d'Armstrong. Il a été dépouillé de ses sept titres du Tour de France et a perdu des dizaines de millions de dollars. Dans sa célèbre entrevue avec Oprah Winfrey en 2013, Armstrong avait admis regretter sa sortie de retraite. « On ne serait pas assis ici si je n'étais pas revenu », avait soutenu celui qui s'est bien refait depuis.

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